Foëcy-Lourioux décor damiers vert/orange

 

Décor de damiers verts et oranges, décor spécialement destiné pour les Nouvelles Galeries (renseignements donnés par un amateur de faïence).

  • Pays : France
  • Région : Limousin
  • Faïencerie : Lourioux
  • Année : +ou- 1930
  • Type : Porcelaine
  • Signature : sans
  • Restauré : non
  • Etat : Excellent

 

Limoges – Tressemanes et Vogt

 

Beurrier en porcelaine décor à la rose. Production de Tressemanes et Vogt vendu en tant que blanc (le tampon vert T&tV était utilisé de 1892 à 1907 sur des pièces non décorées appelées blanc et vendues en l’état) et décoré à la fabrique Locré d’ou le hand painted et les torches croisées. Historique : Gustave Vogt (1849-1937), issue d’une famille de porcelainier et d’importateur reprend le bureau de Limoges en 1870 que son aïeul avait acquis en 1850. Il s’associe avec Tressemanes Emilien au début des années 1880. En 1891, ils achètent deux petites fabriques de porcelaine, dans la banlieue de Montjovis, à Limoges. Leur production de faïence de qualité est destinée à l’exportation vers les États-Unis, distribués sans aucun doute, par leur bureau de New York. Tressemannes pris sa retraite en 1907 et Gustave Vogt devient l’unique propriétaire et change la marque en Porcelaine Gustave Vogt. En 1919, Martial Raynaud achète l’entreprise, reprend la marque T & V et associe sa propre marque Raynaud. La manufacture Raynaud reste en activité aujourd’hui.

simple tampon vert utilisé de 1892 à 1907 sur des pièces blanches destinées à la vente pour être ensuite décorées dans un autre atelier.

  • Pays : France
  • Région : Limousin
  • Faïencerie : Limoges
  • Année : +ou- 1900
  • Type : Porcelaine
  • Signature : T&V
  • Restauré :non
  • Etat : Excellent

 

Longchamp – modèle 1

En 1832, fondation des Faïenceries et Tuileries de Bourgogne par M. Jean PHAL. En 1867, cession de l’entreprise à M. Robert CHARBONNIER qui crée les Poteries de Bourgogne où seront fabriquées des tuiles en argile rouge, vendues dans un rayon de 100 kms et qui va définitivement sceller le destin de Longchamp. Vers 1880, de nouveaux besoins en articles de table et d’ornementation amènent la transformation de la fabrication vers la faïence fine à base de biscuit blanc mis au point par des techniciens anglais.

En 1912, création de la S.A. Faïenceries de Longchamp sous la direction de Gaëtan MOISAND. Les gisements d’argile locaux n’étant pas de qualité suffisante, les matières premières viennent alors de Bretagne, du Bassin Parisien et, un peu plus tard, d’Angleterre.

En 1945, Henry MOISAND succède à son père et prend la direction de l’usine. La faïencerie connaît une renommée sans cesse croissante. Monsieur Henry MOISAND, directeur de l’usine, crée un centre d’apprentissage aux métiers de la faïence qui comptera 80 élèves. Devenu Lycée Professionnel de la céramique, il en abrite désormais près de 150. En 1984, la crise frappe de plein fouet l’industrie de la céramique. En quelques mois, l’effectif de la société va se réduire considérablement et le dépôt de bilan est prononcé. En 1990, l’usine arrête la production de faïence, 65% du capital va au groupe européen VILLEROY ET BOCH qui introduit la fabrication de vitroporcelaine. reprise par Jean-Marie MONOT, elle redevient faïencerie de Longchamp et fabrique de la faïence.

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Article du 1er juillet 2000

Après sa fermeture en 2009 puis l’abandon progressif des lieux aux pilleurs, la faïencerie est restée dans cet état pendant 2 ans. De nouveau le Lundi 06 juin 2011, Gérard Larché à rouvert les portes du magasin appelé Céra’mix dans un hall de 300 m2, extensible à 1.000 m2. Ce magasin est la vitrine de la production française. Des fournisseurs tel que JARS, MONTGOLFIER, RENAULT ou DRIMMER s’y sont installés.

 

dessin aquarelle début 20ème et beurrier de la collection particulière de Mr Gaëtan Moisand

  • Pays : France
  • Région : Bourgogne
  • Faïencerie : Longchamp
  • Année : 1890-1910
  • Type : Faïence
  • Signature : Longchamp terre de fer
  • Restauré : non
  • Etat : Excellent

 

Longchamp – modèle 2

 

Le voici enfin, le modèle présenté par Mr Gaëtan Moisand. Il a été agrafé, collé, il a quelques éclats, mais en même temps il n’est pas tout jeune.

Quelques cartes postales des divers ateliers.

  • Pays : France
  • Région : Bourgogne
  • Faïencerie : Longchamp
  • Année : environ 1900
  • Type : Faïence
  • Signature : Longchamp terre de fer
  • Restauré : oui
  • Etat : Moyen

Malicorne – petit breton « sous réserve »

Petit beurrier H : 12cm, L : 10cm. Terre cuite émaillée couverte gris bleue. Émail grossier, bulles et autres défauts. Travail artisanal. Médaillon avec personnage central breton appelé décor « au petit breton » modèle utilisé fin 19ème. manufacture de Malicorne. Sur l’autre face frise de fleurs. Aucune signature.

  • Pays : France
  • Région : Pays de la Loire
  • Faïencerie : Malicorne
  • Année : Année non disponible
  • Type : Faïence
  • Signature : Non
  • Restauré : non
  • Etat : Excellent

 

Malicorne – Pouplard-Béatrix

 

Origines : C’est en 1747 que commence l’aventure de la faïence avec l’installation de Jean Loyseau à Malicorne. Guillaume Rabigot, ancien tourneur de Loyseau et héritier du savoir-faire, développe sa manufacture, dénommée Faiencerie du Bourg-Joly qui sera reprise plusieurs fois. Elle est aujourd’hui la plus ancienne faïencerie de Malicorne. Emile Pouplard acquiert en 1890 la faïencerie des parents de sa femme, Marie-Angèle Beatrix. Leurs productions communes seront signées PBx. (source : wikipédia). Beurrier accidenté sur le couvercle, écusson « à ma vie ».

  • Pays : France
  • Région : Pays de la Loire
  • Faïencerie : Malicorne
  • Année : + ou- 1890
  • Type : Faïence
  • Signature : PBX
  • Restauré : non
  • Etat : Bon

 

Malicorne – Modèle 3

 

Absence de signature, grâce à la forme de cette pièce et la couleur rouge de la terre, je l’attribue à une production de Malicorne. Au cours du XIXe siècle, les faïenciers de Malicorne reproduisent les modèles à succès de Nevers, Rouen ou Moustiers. La faïence de Malicorne, jusque là utilitaire va peu à peu s’orienter vers des productions plus décoratives. C’est cependant Léon Pouplard, d’abord représentant pour les faïenceries HB de Quimper, qui va systématiser les décors bretons. De nombreux procès opposeront à ce sujet Quimper et Malicorne. Malicorne ne développera cependant pas un style propre, empruntant les décors aussi bien à Quimper qu’à Delft. Source : Wikipédia »

Beurrier présenté au musée de Malicorne,  décor similaire mais forme légèrement différente, pas de bords chantournés. A mon avis période plus récente que celui de ma collection.

  • Pays : France
  • Région : Pays de la Loire
  • Faïencerie : Malicorne
  • Année : Année non disponible
  • Type : Faïence
  • Signature : Non
  • Restauré : non
  • Etat : Bon